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Contenus en rapport avec le mot-clé l’Appel du 18 juin

De Gaulle Hubert Germain AFPDéfense
Bonnes feuillesLe dernier des Compagnons : le jour où Charles de Gaulle fit entrer Hubert Germain dans l’Ordre de la Libération

Guillemette de Sairigné publie « Le dernier des Compagnons: Hubert Germain » aux éditions Tallandier. Le 11 novembre 2021 ont eu lieu les funérailles d'Hubert Germain, l'ultime survivant des 1.038 membres de l'Ordre de la Libération, institué par le général de Gaulle pour distinguer les meilleurs de ses frères d'Armes. À 101 ans, il était le dernier des Compagnons. Hubert Germain n'a que 19 ans quand il s'engage, en juin 1940, dans le combat pour la libération de la France. Extrait 1/2.

avec Guillemette de Sairigné
article imageHistoire
Bonnes feuillesL’impact de l’appel du 18 juin 1940 sur les ralliements et l’entourage du général de Gaulle

Jean-Paul Cointet publie « De Gaulle, Portrait d’un soldat en politique » aux éditions Perrin. De l’arme blindée à l’arme atomique, de l’appel du 18 juin à la constitution de la Ve République, de Gaulle, incomparable dans l’art de commander puis de gouverner, a voulu que la France recouvre et tienne son rang – le premier – au sein d’un monde tourmenté et imprévisible. Et il y est parvenu. En tirant le fil de l’épée, l’historien déroule la pelote politique du gaullisme. Extrait 1/2.

avec Jean-Paul Cointet
article imageFrance
L'armée des ombresAppel du 18 juin : pourquoi le sentiment d’unité nationale né de la matrice de la résistance a quasiment disparu aujourd’hui

Ce 18 juin, Emmanuel Macron commémore à Suresnes l'appel lancé par le Général de Gaulle à l'union contre l'occupant et contre la collaboration. Ce moment historique a été un des ciments de l'union nationale portée par le Conseil National de la Résistance par la suite, et plus largement d'une union politique autour de la République.

avec Edouard Husson
article imagePolitique
Bonnes feuilles"C'est pas ma faute" : pour Zemmour "la France est morte", mais selon de Gaulle " le salut vint d’abord d’une élite"

Qu'ont en commun François Hollande qui accuse Bruxelles de ses revers, Thomas Thévenoud qui incrimine sa phobie administrative, Jérôme Kerviel qui se déclare victime du système ? « C'est pas ma faute ! » s'exclament-ils en choeur. Petits et grands reprennent le refrain avec entrain. Ils stigmatisent le mal français de la désinvolture, de l'irresponsabilité et de la démission. De juin 1940 à aujourd'hui, en passant par mai 1968, ce livre retrace notre dégringolade. Et détaille les conditions de notre sortie de l'infantilisation. Extraits de "C'est pas ma faute" d'Irène Inchauspé et Claude Leblanc, aux éditions du Cerf 2/2

avec Irène InchauspéetClaude Leblanc